Marcel Pagnol devait considérer » cette tranche de vie en Principauté comme l’époque la plus heureuse de son existence «
« Qandu a marina stirassa i massacàn, se nun ciœve ancœi ciœve demàn »
Quand la mer entraîne les pierres, s’il ne pleut pas aujourd’hui il pleuvra demainMarcel Pagnol devait considérer » cette tranche de vie en Principauté comme l’époque la plus heureuse de son existence «